Ecrit le 02/12/2020
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Mise à jour le 03/04/2021

"Je n'aime pas ma vie" et 3 autres affirmations que je ne dirai plus en 2021

Je n'aime pas ma vie 2021

2020 restera dans les annales pour de nombreuses raisons.

Si cette année m'a au moins appris une chose, c’est qu’il était possible de revoir mes priorités, et de m'adapter, avec cette avalanche de contraintes que j'ai connues tout au long de l'année.

Maintenant, en 2021, c'est à moi de choisir si j'attends des circonstances extérieures qu'elles m'amènent à changer, ou si je décide de prendre moi-même les choses en main pour le faire.

J'ai choisi la deuxième option, et j'ai donc établi une liste des quatre affirmations que je ne prononcerai plus dans les mois à venir...

Je n’aime pas ma vie

Qui, exactement, m'oblige à continuer de vivre de la même manière ? Si je n’aime pas ma vie, je peux en changer.

Je peux commencer par arrêter de me limiter avec de fausses excuses, comme "j’ai fait 10 ans d’études pour en arriver là, je ne peux pas tout bousculer maintenant ", "j’ai tout ce qu’il faut pour être heureux, donc je n’ai pas à me plaindre, il y a des personnes plus prioritaires que moi” ou encore "ce n’est pas à mon âge que l’on change".

S’il est une leçon que j'ai retenu des derniers mois, c’est que nous pouvons changer : individuellement, et aussi collectivement. Il existe souvent des solutions, et il s’agit d’être créatif avec les obligations qui peuvent sembler nous entraver. Loin de la caricature où je plaque tout pour partir vivre dans une communauté en Inde (ou dans le Larzac), c’est plutôt l’occasion de prendre le temps de réfléchir, enfin, à ce que je veux vraiment. Et de tracer les plans pour y arriver, avant de les mettre en application.

Il est trop compliqué de changer de vie

Est-il réellement plus simple de devoir dénicher, chaque matin, au plus profond de soi-même, un ersatz de motivation afin de se lever et d’effectuer ses tâches quotidiennes ?

Avec cette répétition, je puise dans mon énergie, inlassablement, jusqu'au moment du burn-out ou du bore-out. Et là, les conséquences négatives peuvent s'avérer profondes et durables.

Si j'ai réellement l’envie de bousculer ma vie, les écueils que je rencontrerai seront vraisemblablement des épreuves pour me faire grandir. Des écueils intérieurs ("est-ce que je vais y arriver?"), et des écueils extérieurs ("est-ce que je vais pouvoir continuer à payer les études des enfants?") que je vais être invité à dépasser, avec des ressources parfois inattendues qui se présenteront sur le chemin.

Sénèque disait à ce sujet : "Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles."

Un autre point à considérer est que je ne suis pas obligé.e d’avancer seul.e sur ce chemin et qu'en plus, je peux le faire à mon rythme, sans bousculer mon quotidien.

Il existe ainsi de multiples dispositifs pour se faire accompagner.

L’idée, c’est de pouvoir faire comme dans un jeu vidéo : ne pas avoir à battre tous les ennemis simultanément, mais à tour de rôle.

Et uniquement quand je suis prêt.e à le faire.

Je le ferai plus tard

Si, comme pour moi, votre exercice préféré est la procrastination et que vous attendez le bon moment pour trouver votre cap, il risque de ne jamais venir.

De même, si je patiente jusqu’à avoir assez d’énergie pour enfin commencer mes démarches : si mon quotidien m'use, il ne va pas m'apporter le dynamisme nécessaire pour repartir ailleurs.

Certains disent qu’attendre, c’est reculer pour mieux sauter. C’est possible dans certains cas, où il s'agit de gérer ses priorités et où il peut s'avérer profitable d'attendre.

Cependant, ce qui déclenche le changement, c’est l’action : "Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas" disait Lao-Tseu.

Alors, si je veux vraiment changer, je me fixe une date butoir pour passer à l’action, je refuse de négocier avec moi-même une fois qu'elle est posée… et j' y vais.

J’ai peur de tout perdre

La peur est un processus normal, et elle est saine, car elle a pour vocation de nous protéger. Elle ne signale pas toujours qu’il y a du danger mais que, peut-être, face à cet inconnu, il pourrait y en avoir. Et c’est vrai. Nous ne pouvons pas savoir à l’avance ce qui va se passer.

Alors, bien sûr, il existe des stratégies de sécurisation.

La première étant de prendre son temps et de ne pas tout faire tomber d’un coup.

S’assurer aussi d’avoir plusieurs mois de réserves au niveau financier, également.

Parler de mon envie de changement avec des personnes en lesquelles j’ai confiance, pour entendre leurs feedbacks, avec discernement pour ne pas en faire un motif supplémentaire pour ne pas changer.

Cependant, et aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est souvent la peur de réussir qui nous entrave. Car, comme le dit Marianne Williamson, dans son poème “Notre peur la plus profonde” : "Qui suis-je, moi, pour réussir ?"

"Je n'aime pas ma vie", "Il est trop compliqué de changer de vie", "Je le ferai plus tard", "J'ai peur de tout perdre" sont donc bannis de mon vocabulaire en 2021.

Et vous, quelles expressions bannissez-vous en 2021 ?

 

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